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En 2009, une révolution dite orange nous a fait gober l'idée selon laquelle la société malgache sera dorénavant décrassée de toutes les salissures des régimes précédents. D'aucuns se souviennent encore de tous ces beaux discours de la place d'Ambohijatovo où les « révolutionnaires » ont promis l'avènement d'un nouveau Madagascar, l'instauration d'un nouvel État marqué par la bonne gouvernance et une meilleure gestion des affaires du pays où la transparence en sera le maître-mot. Au bout de trois ans et demi (...) - Editorial

Partager transition : une gestion quasi opaque

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